Quand on suit le courant, tout est fluide.
Les choses se font sans efforts et sans difficultés.
Il y en a des difficultés mais elles sont perçues tellement différemment qu’elles semblent minimes, sans conséquences réelles.
Nous ne choisissons pas le courant, n’ont n’avons pas le choix de le suivre.
Nous pouvons biensur lutter contre lui, essayez de le remonter, mais nous irons nous épuiser en allant dans le sens inverse du mouvement de la vie.
Le courant ne cesse jamais.
Il est sans fin quand nos corps semblent nous quitter.
Suivre le courant c’est accepter ce que la vie nous offre et cela semble compliqué quand nous traversons des difficultés qui nous semblent insurmontables.
Nous serions tentés d’insulter la vie, de trouver des coupables à notre situation, de croire en la malchance, etc
Pourtant à un niveau bien souvent pas perçu par l’humain, nous choisissons ce que nous vivons, aussi horrible cela puisse paraître à nos yeux d’humain.
Ce matin j’ai eu le mot foi qui m’est venu.
Ce « garde confiance » que j’ai entendu des milliers de fois venant d’esprits divers et variés.
Ceux que j’appelle volontiers guides, alliés, copains.
La foi.
La foi c’est savoir que quelque chose qui nous dépasse, quelque chose de l’ordre du divin, en nous, œuvre.
La foi c’est parfois ce qu’il nous manque dans des moments compliqué.
Cela ne regarde que moi et ma vision de la spiritualité :
La foi c’est s’appuyer sur plus grand que soi, en tant qu’ego.
S’appuyer sur plus grand que soi en tant qu’humain.
Savoir s’abandonner à quelque chose qui nous dépasse.
La foi c’est avoir le courage de lâcher l’arrogance qui voudrait être « maître de sa vie » alors que le divin est au commande depuis le début.
C’est suivre le mouvement.
C’est suivre le courant.
Je vous/nous souhaite d’avoir la foi dans toutes circonstances.
Belle journée,
Élise